La robotisation

Un robot et la robotisation, c’est quoi?

Le mot robot vient des langues slaves et signifie travail.

Un robot est une machine conçue pour accomplir automatiquement des tâches imitant ou reproduisant des actions humaines. Le robot peut accomplir des tâches simples mieux que ce que ferait un être humain.  Le robot peut aussi accomplir des tâches dangereuses, répétitives ou impossibles à effectuer par les humains.

La robotisation ou se robotiser signifie d’équiper un lieu, en particulier un espace industriel ou commercial avec des robots. Une autre definition pour la robotisation est le remplacement de l’homme par une machine entièrement automatique.

Les avantages de la robotisation ou pourquoi se robotiser?

Le plus grand bénéfice de la robotisation est la rentabilité. Un robot est capable de travailler plus sans dégradation des performances, donc il va augmenter le volume de production.

Les coûts de main d’oeuvre sont aussi réduits et l’entreprise gagne en compétitivité.

Un autre bénéfice est l’optimisation constante du niveau de qualité et une gestion des tâches plus agile.

La robotisation, une menace pour l’emploi?

A première vue s’accompagne d’une destruction d’emplois. Les emplois les moins créatifs et les plus répétitifs sont les plus exposés à l’automatisation. Mais la robotisation ne s’arrête pas là: les voitures sans chauffeur, les drones effectuant des livraisons ou les robots-infirmiers feront disparaître la moitié des emplois des secteurs des transports et de la santé 2030.

Il est donc clair que la robotisation détruit des emplois mais elle en crée d’autres et il y a encore beaucoup de métiers qui n’ont pas encore inventés. Il ne faut pas aussi perdre de vue qu’il faudra toujours des humains pour créer des robots, ainsi que pour les entretenir. 40% des jeunes diplômés sont directement embauchés dans l’industrie.

Les défenseurs de la robotisation affirment que le robot n’est plus destiné à remplacer l’homme mais à l’assister. L’objectif sera de travailler en symbiose. Les atouts des humains sont une meilleure créativité, une capacité à l’adaptation sans limite et une plus grande autonomie.

La conclusion est complexe mais il ne fait pas avoir peur de la transformation. L’évolution de la société a toujours fait que l’emploie change.

Qu’est-ce qu’il nous reste à faire?

Aujourd’hui on ne peut plus envisager une société dans laquelle les robots ne seraient pas intégrés dans notre quotidien. Donc, on doit commencer à définir les règles d’une robotique plus responsable, au service de l’humain et à réaliser que notre employabilité et la capacité à trouver notre place sur le marché du travail de demain est une responsabilité individuelle.

On ne doit pas détester le progrès technologique mais l’accompagner.

Les bonnes manières – bien se comporter

Ne faites jamais quoi que ce soit avant que votre hote ne le fasse en premier

Avant de commencer à manger on attend la maitresse/maitre de maison et on ne se jette pas sur la nourriture.

Utilisez s`il vous plait, merci et excusez-moi.

Ne mettez pas les coudes sur la table, ne faites pas de grands gestes et ne parlez pas la bouche pleine.

 

Le nom de la rose #3

Après le souper Guillaume et Adso utilisent le passage secret pour entre dans l’Edifice. Ils découvrent qu’un livre qui était sur la table de Venantius a disparu. Pendant leur visite, une personne mystérieuse apparait et vole les précieuses lunettes de Guillaume. Ils découvrent aussi que Venantius voulait cacher un secret important et qu’il s’est servi d’un alphabet secret qui devra être déchiffré.

Ils arrivent dans la bibliothèque. Ils observent que tous les livres sont nettoyés avec une certaine presence et que par terre il ne traine aucune saleté. Ils commencent à explorer la bibliothèque qui était comme un labyrinthe. A un moment donné ils perdent mais inopinément ils retrouvent la salle d’ou ils étaient partis. Quand ils rentrent dans leur cellules ils apprennent que l’Abbé les a cherchés toutes la nuit. Il voulait leur annoncer que Bérenger n’était pas dans la choeur et qu’il n’avait pas regagné sa cellule après l’office. En fouillant sa cellule un moine trouve un linge souillé de sang. Guillaume pense que c’est mieux d’attendre les éveniments.

Pendant le repas matinal et tandis que Adso mangeait, Salvatore lui raconte comment il a été choisi comme aide par le cellérier. Il se trouvait ici depuis des années, peu intéressé par les fastes de l’ordre, avec l’image d’un homme à la vie aventureuse, capable meme de tuer son semblable sans se rendre compte de son crime. Ados n’est pas sur de ce que Salvatore a inventé et il se demande ce qu’il a passé sous silence.

Guillaume et le maitre verrier, père Nicolas, travaillent pour réaliser une nouvelle paire de lunettes qui va permettre à Guillaume d’étudier en details le message secret de Venantius.

Le nom de la rose – Deuxième jour (I)

La deuxième jour Guillaume et Adso se conforment à l’usage bénédictin et ils descendent dans la choeur où la lecture de la Sainte Ecriture commençait. Pendant qu’ils chantaient les paroles du livre divin, trois porchers avec la terreur peinte sur leur face annoncent qu’un autre moine a été retrouvé mort. La victime était Venantius de Salvenec, un savant avec qui Guillaume et Adso avaient parlé dans l’après-midi. Guillaume croit que l’homme était déjà mort quand il a été flanqué dans la jarre. Plus tard, grace à la neige, des empreintes de pieds humains ont été découvertes entre le recipient et l’Edifice.

Guillaume decide d’interroger Bence et il trouve que lui, Adelme, Bérenger, Venantius, Malachie et Jorge avaient parlé de certains livres qui ont créé des désaccords entre eux. Bence d’Upsala confie aussi qu’il a entendu parler de quelque chose qui se trouve dans la bibliothèque.

Guillaume interroge un autre moine, Bérenger d’Arundel. Selon Guillaume il était le dernière personne a avoir vu Adelme vivant. Bérenger confie que Adelme lui reprochait de lui avoir appris quelque chose. A cause de cela Bérenger se sentait malheureuse et il souffrait beaucoup.

Dans l’après-midi, dans les cuisines, Guillaume et Adso assistent à une rixe entre deux personnes vulgaires, Salvatore et le cuisinier. Le cuisinier accuse Salvatore d’utiliser l’abbaye comme si c’était sa chose à lui, de jour et de nuit. Aymara d’Alexandrie fait plusieurs allusions et il dit que dans ce repaire de dements les abbés ne sont plus des abbés et les bibliothécaires ne sont plus des bibliothécaires. Il ajoute que le moine est homme aussi mais ces moines sont moins hommes qu’ailleurs. Il cloit la discussions en disant que dans l’abbaye le jour ils soignent les corps avec de bonnes herbes et la nuit ils rendent l’esprit malade avec de mauvaises herbes.

Guillaume et Adso inspectent la table de Venandius mais ils sont interrompus par l’omnipresent Jorge avec qui ils ont une autre  conversation sur le caractère licite du rire. Bence veut parler en urgence à Guillaume. L’histoire étrange et confuse fait croire à Guillaume qu’il a été attiré dans le seul but de l’éloigner du scriptorium.

Les festivities de Noel approchent et l’Abbé veut célébrer la naissance du Sauveur avec tout l’éclat et la magnificence qu’elle mérite et exige. Il se montre fier des richesses de son abbaye et plein de crainte au sujet des hérétiques.

Guillaume pense que l’histoire se complique de plus en plus. L’Abbé suggère avec beaucoup d’insistance une piste tellement différente de laquelle Guillaume avait pensé: le cellérier. Guillaume ne veut pas abandonner la premiere piste. Le veinard Alinardo dit à Guillaume quelque chose sur la façon de pénétrer dans l’Edifice.

Le nom de la rose par Umberto Eco.

Le nom de la rose – Premier jour

Adso et son maître, Guillaume de Bacqueville, arrivent au pied de l’abbaye dans une belle matinée de la fin novembre. Sur le chemin, grace à sa grande sagacité, Guillaume aide une troupe de moines et de servants à trouver Brunel, le cheval préféré de l’Abbé Abbon.

L’abbaye a une bibliothèque dont tout le monde dans toutes les abbayes de la chrétienté parle avec admiration. Inquisiteur dans plusieurs procès en Angleterre et en Italie où il s’était distingué pour sa perspicacité, Guillaume est envoyé par l’empereur pour faire la lumière sur une fort douloureuse énigme. Un jeune moine, Adelme d’Otrante, a été retrouvé mort. Guillame pense que l’une des personnes qui habite dans l’abbaye s’est souillé d’un péché terrible, un homicide. Il demande à l’Abbé Abbon de circuler librement et de visiter la fameuse bibliothèque qui renferme plus de livres que toute autre bibliothèque chrétienne. Ambon accepte mais il interdit à Guillaume de visiter la bibliothèque au motif que seul le bibliothécaire a le droit de circuler dans le labyrinthe des livres. Les vérités ne sont pas bonnes pour toutes les oreilles et les moines doivent lire seulement certains volumes. Dans la bibliothèque il y a des livres qui contiennent des mensonges et de ce fait personne ne peut y pénétrer. Ainsi nul ne montre au dernier étage.
Guillaume retrouve Ubertin de Casale, un vieillard, au visage glabre, dont Adso a beaucoup entendu parler.Dans la meme journée ils retrouvent aussi Séverin de Sant’Emmerano, le père herboriste, qui a charge des bains, de l’hopital et des potagers.  Guillaume lui pose des questions sur les herbes qui provoquent de mauvaises visions. Séverin répond que ce sont des choses que seul l’herboriste doit savoir, sinon n’importe quel inconscient pourrait se promener en administrant des visions.

Plus tard, Guillaume et Adso font la connaisance de nombreux savants, copistes et rubricaires  dont le bibliothécaire Malachie de Hildsheim. Le dernier donnait l’impression d’affronter la peine d’exister pour quelque déplaisant devoir. Il explique encore une fois à Guillaume ce que l’Abbé lui avait déjà dit, que le moins demandait au bibliothécaire le livre à consulter et celui-ci irait le chercher si la demande avait été juste et pieuse.  Malachie presente à Guillaume un homme vénérable d’age et de sapience, celui à qui bon nombre de moines confient les poids de leurs péchés dans le secret de la confession. Une subtile inquiétude flottait parmi les moins.

Guillaume et Adso parlent à Nicolas de Morimonde, le maitre verrier de l’abbaye. Guillaume lui montres une paire de verres reçus d’un grand maitre en cadeau et qui ont laisse ahuri le verrier. Il s’agit de ce qu’on appelle aujourd’hui des lunettes. Frère Nicolas veut les examiner et Guillaume est d’accord. Guillaume trouve que pendant les heyres d’obscurité l’étage supérieur de l’Edifice est éclairé. Il ne croit pas que ce sont les ames des bibliothécaires trépassés. Il est convaincu que Adelme s’est tué lui-meme mais il faut trouver les raisons meme si tous cachent quelque chose.

L’Abbé invite Guillaume et Adso dans le réfectoire, à sa table, où ils connaissent un très vieux moine, Alinardo de Grottaferrata, qui semblait avoir l’esprit battant la campagne. Pendant la conversation il trouve que le bibliothécaire ferme les toutes les portes, en les barrant de l’intérieur. Guillaume pense que un passage qui mène à l’Edifice pourrait exister et que la bibliothèque lui parait un endroit où les secrets restent à couvert.

 

 

Le nom de la rose par Umberto Eco.


Mundus senescit – Le monde se développe.

Apprendre le français #3 – Marcel Proust

Enfant à la santé fragile, Marcel Proust aura toute sa vie des difficultés respiratoires graves causées par l’asthme. Lors de ses nombreux voyages à la campagne sa mère devient la personne la plus proche de lui et il developpe une passion pour la lecture.

Le livre qui va lui changer le cours de la vie, « Norman conquest of England », le transporte dans le passé. À ce moment-là, il decide de devenir un écrivain qui va essayer d’éclairer les lois de la nature humaine.

Persécuté par l’idée qu’il ne va pas vivre longtemps il commence à lire beaucoup. Malgré sa tendance naturelle être seul il est incroyablement sociable. Il fréquente des sallons aristocratiques où il rencontre des artistes et des écrivains. Il est fasciné par ce monde dont il s’inspire pour ses futurs personnages. Il veut écrire seulement ce qui est réel, ce qu’il a expérimenté. Sinon, l’écriture est sans vie, d’après lui.

Il profite de sa fortune qui lui permet de ne pas avoir un emploi et il publie son premier roman mais qui n’est pas très bien reçu et qui ne se vend pas bien. Il est catalogué comme un écrivain superficiel. Il decide de répondre aux critiques en écrivant un roman plus complexe mais avec le temps il abandonne  ce projet. Il se sent démoralisé.

Pressé par sa famille pour choisir un métier, persécuté par l’idée qu’il va bientôt mourir, il decide d’apprendre l’anglais et de traduire les oeuvres de Ruskin. Après quelques années de travail intense il les publie, il reçoit de bonnes critiques et il définit son style.

Après la mort de ses parents, sa santé se détériore davantage. Il commence l’écriture de sa grande ouvre, « À la recherche du temps perdu », qui aura sept tomes. Le roman est une réflexion sur le temps et sa relativité, mais aussi une analyse de la société aristocratique et bourgeoise. L’amour et la jalousie sont aussi présentés. C’est la vie de Marcel Proust dans ce roman, des histoires collectées pendant des années.

Avec chaque tome les lecteurs ont l’impression de vivre vraiment dans le monde cré par l’écrivain. C’est un effet magique, c’est l’effet qui l’avait senti et qu’il a voulu transmettre aux lecteurs.

 

Apprendre le français #2 – Charles Darwin, suivez votre passion

Charles Darwin a toujours senti la présence de son père écrasante. Il était un homme riche et un docteur très connu qui a voulu toute sa vie que ses deux fils deviennent comme lui. Charles, le plus jeune, n’a jamais aimé aller à l’école pour étudier. Il n’était ni bon en latin et en grec ni en algèbre. Tout ce qu’il aimait vraiment était passer son temps dehors, chasser et collectionner des fleurs et des minéraux. Il aimait observer le comportement des oiseaux et prendre des notes sur les différences. À cause de cela son père lui a dit un jour qu’il ferait honte à sa famille et a décidé de l’envoyer à l’école de médecine à Edinburgh. Charles n’a pas pu y rester très longtemps et il a quitté l’école. À son retour, son père lui avait déjà trouvé un futur emploi dans une église mais le jeune fils devrait obtenir un diplôme d’une université prestigieuse. Charles s’inscrit à l’université de Cambridge et pendant ses études il se lie d’amitié avec le professeur Henslow. Charles obtiendra diplôme en 1831.

Charles decide de retourner chez lui pour prendre son poste mais le professeur Henslow lui propose un emploi comme naturalist sur un bateau qui partira quelques années pour observer différents littoraux. Il serait en charge de la collection des plantes et des minéraux. Il ne serait pas payé. Au début, il décline l’offre mais quelques jours plus tard il change d’avis. Avec l’aide de son oncle il convainc son père de le laisser partir. Avant d’embarquer il écrit: ma deuxième vie va commencer et aujourd’hui ce sera comme un anniversaire pour le reste de ma vie.

Quelques jours après l’embarquement Charles commence à regretter: le bateau était trop petit et il avait toujours le mal de mer. En plus, le capitaine du bateau était un fanatique religieux. Pour se calmer, Charles commence à observer la vie sur le bateau.

Quelques mois plus tard ils arrivent au Brésil et Charles est fasciné par la variété de la végétation et de la vie sauvage. À ce moment-là il comprend pourquoi il s’est embarqué dans cette aventure. Il commence un travail herculéen mais qui lui fait plaisir.