La deuxième jour Guillaume et Adso se conforment à l’usage bénédictin et ils descendent dans la choeur où la lecture de la Sainte Ecriture commençait. Pendant qu’ils chantaient les paroles du livre divin, trois porchers avec la terreur peinte sur leur face annoncent qu’un autre moine a été retrouvé mort. La victime était Venantius de Salvenec, un savant avec qui Guillaume et Adso avaient parlé dans l’après-midi. Guillaume croit que l’homme était déjà mort quand il a été flanqué dans la jarre. Plus tard, grace à la neige, des empreintes de pieds humains ont été découvertes entre le recipient et l’Edifice.
Guillaume decide d’interroger Bence et il trouve que lui, Adelme, Bérenger, Venantius, Malachie et Jorge avaient parlé de certains livres qui ont créé des désaccords entre eux. Bence d’Upsala confie aussi qu’il a entendu parler de quelque chose qui se trouve dans la bibliothèque.
Guillaume interroge un autre moine, Bérenger d’Arundel. Selon Guillaume il était le dernière personne a avoir vu Adelme vivant. Bérenger confie que Adelme lui reprochait de lui avoir appris quelque chose. A cause de cela Bérenger se sentait malheureuse et il souffrait beaucoup.
Dans l’après-midi, dans les cuisines, Guillaume et Adso assistent à une rixe entre deux personnes vulgaires, Salvatore et le cuisinier. Le cuisinier accuse Salvatore d’utiliser l’abbaye comme si c’était sa chose à lui, de jour et de nuit. Aymara d’Alexandrie fait plusieurs allusions et il dit que dans ce repaire de dements les abbés ne sont plus des abbés et les bibliothécaires ne sont plus des bibliothécaires. Il ajoute que le moine est homme aussi mais ces moines sont moins hommes qu’ailleurs. Il cloit la discussions en disant que dans l’abbaye le jour ils soignent les corps avec de bonnes herbes et la nuit ils rendent l’esprit malade avec de mauvaises herbes.
Guillaume et Adso inspectent la table de Venandius mais ils sont interrompus par l’omnipresent Jorge avec qui ils ont une autre conversation sur le caractère licite du rire. Bence veut parler en urgence à Guillaume. L’histoire étrange et confuse fait croire à Guillaume qu’il a été attiré dans le seul but de l’éloigner du scriptorium.
Les festivities de Noel approchent et l’Abbé veut célébrer la naissance du Sauveur avec tout l’éclat et la magnificence qu’elle mérite et exige. Il se montre fier des richesses de son abbaye et plein de crainte au sujet des hérétiques.
Guillaume pense que l’histoire se complique de plus en plus. L’Abbé suggère avec beaucoup d’insistance une piste tellement différente de laquelle Guillaume avait pensé: le cellérier. Guillaume ne veut pas abandonner la premiere piste. Le veinard Alinardo dit à Guillaume quelque chose sur la façon de pénétrer dans l’Edifice.
Le nom de la rose par Umberto Eco.